Thomas Petit sculpteur




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Résidence

Portraits de l'humanité

Marianne

En septembre 2016, lauréat de la Fondation charentaise Les Tricoles, Thomas Petit entreprend, au hameau de la Brousse, près de Sers, une sculpture de 3 mètres sur 4 dans la falaise calcaire au-dessus du ruisseau de l’Échelle. La sculpture représente « Marianne », dont la chevelure entremêle les emblèmes artistiques des divers continents (dont, pour l’Afrique, une figure de reliquaire kota du Gabon): Thomas rend ainsi hommage à la diversité culturelle et aux artistes du Solutréen qui, il y a 23 000 ans, ont sculpté non loin, au Roc de Sers, la fameuse frise pariétale représentant des chevaux, des bouquetins, un bison et une figure humaine, conservée au Musée de l’Archéologie nationale à St-Germain-en-Laye.

Citation d'Etienne Féau

 

J’ai réalisé une sculpture à même un front de taille d’une ancienne carrière en Charente, à Dignac (France), pour valoriser le potentiel local en matière de pierre, et agrémenter un parcours artistique en milieu naturel. Le sujet que j’ai voulu aborder, est une interprétation libre d’une « Marianne » métisse, aux attributs divers et ancestraux du Tout-Monde pour invoquer le vivre ensemble et évoquer la complexité du passé colonial de l’état français. Une sorte de syncrétisme culturel entremêlé. Mais aussi un hymne à la féminité, en jouant sur une variété de symboles…

« Marianne » métisse, sculpture (calcaire d’Angoulême) en taille direct à même la falaise à Dignac en Charente ( France). 3 mètres par 4 de large, réalisé en 2016 . Portrait féminin comportant des symboles ancestraux du Tout-Monde, pour symboliser les bienfaits du métissage et du vivre ensemble.

L'Homme-Jaguar

« L’Homme-Jaguar », pour la Galaxie des Pierres Levées, à Crazannes aux Lapidiales. Sculpture pour un projet de grande envergure qui doit rassembler 366 monolithes monumentaux, et représenter l’ensemble des cultures à travers le monde à raison d’une moyenne de 6 sculpteurs en résidence chaque année et sur une culture différente. j’ai été lauréat pour représenter les cultures amérindiennes d’Amérique du Sud, en 2017…

La sculpture aurait pour objectif de percevoir en premier lieu le visage du chaman portant le masque Jaguar. Le Jaguar symbolise la Terre, plus ou moins stylisée. Il se confond avec les monstres terrestres dont les mâchoires largement ouvertes laissent émerger le dieu solaire. Les cônes latéraux symbolisant la clairvoyance. Tatouages et scarifications. Ils renseignent sur le rang social, et même sur la fonction occupée par la personne, notamment dans le cas des prêtres. Référence: culture La Tolita et Palenque.

« Dans cette quête éperdue et sublime qui le pousse sans cesse à réinventer les frontières du beau pour mieux approcher les sphères du divin, le créateur se fait poète devin. Esquisse d’une danse avec l’au-delà joue et rejoue sans cesse les cosmogonies premières qui célèbrent la communion de l’homme avec les créatures animales et végétales. » René Daumal.

« L’Homme-Jaguar »,( calcaire, 280h-80-80cm) réalisé en 2017, dans le cadre du projet de la « Galaxie des Pierres Levées » à Crazannes (France), pour les Lapidiales, sur le thème des cultures amérindiennes d’Amérique du Sud.

Daphné

« Daphné » (calcaire, 190h-150l-110p),  2019,  Angoulême, Charente (France). Sculpture élaborée durant un festival. Métamorphose (Ovide) entre femme et végétal, contre le viol. Ainsi que d’entretenir le lien étroit entre l’humanité et la préservation de la nature...

Podcast inauguration, musique et texte

 

 
Portraits de l'humanité

Marianne

En septembre 2016, lauréat de la Fondation charentaise Les Tricoles, Thomas Petit entreprend, au hameau de la Brousse, près de Sers, une sculpture de 3 mètres sur 4 dans la falaise calcaire au-dessus du ruisseau de l’Échelle. La sculpture représente « Marianne », dont la chevelure entremêle les emblèmes artistiques des divers continents (dont, pour l’Afrique, une figure de reliquaire kota du Gabon): Thomas rend ainsi hommage à la diversité culturelle et aux artistes du Solutréen qui, il y a 23 000 ans, ont sculpté non loin, au Roc de Sers, la fameuse frise pariétale représentant des chevaux, des bouquetins, un bison et une figure humaine, conservée au Musée de l’Archéologie nationale à St-Germain-en-Laye.

Citation d'Etienne Féau

 

J’ai réalisé une sculpture à même un front de taille d’une ancienne carrière en Charente, à Dignac (France), pour valoriser le potentiel local en matière de pierre, et agrémenter un parcours artistique en milieu naturel. Le sujet que j’ai voulu aborder, est une interprétation libre d’une « Marianne » métisse, aux attributs divers et ancestraux du Tout-Monde pour invoquer le vivre ensemble et évoquer la complexité du passé colonial de l’état français. Une sorte de syncrétisme culturel entremêlé. Mais aussi un hymne à la féminité, en jouant sur une variété de symboles…

« Marianne » métisse, sculpture (calcaire d’Angoulême) en taille direct à même la falaise à Dignac en Charente ( France). 3 mètres par 4 de large, réalisé en 2016 . Portrait féminin comportant des symboles ancestraux du Tout-Monde, pour symboliser les bienfaits du métissage et du vivre ensemble.

L'Homme-Jaguar

« L’Homme-Jaguar », pour la Galaxie des Pierres Levées, à Crazannes aux Lapidiales. Sculpture pour un projet de grande envergure qui doit rassembler 366 monolithes monumentaux, et représenter l’ensemble des cultures à travers le monde à raison d’une moyenne de 6 sculpteurs en résidence chaque année et sur une culture différente. j’ai été lauréat pour représenter les cultures amérindiennes d’Amérique du Sud, en 2017…

La sculpture aurait pour objectif de percevoir en premier lieu le visage du chaman portant le masque Jaguar. Le Jaguar symbolise la Terre, plus ou moins stylisée. Il se confond avec les monstres terrestres dont les mâchoires largement ouvertes laissent émerger le dieu solaire. Les cônes latéraux symbolisant la clairvoyance. Tatouages et scarifications. Ils renseignent sur le rang social, et même sur la fonction occupée par la personne, notamment dans le cas des prêtres. Référence: culture La Tolita et Palenque.

« Dans cette quête éperdue et sublime qui le pousse sans cesse à réinventer les frontières du beau pour mieux approcher les sphères du divin, le créateur se fait poète devin. Esquisse d’une danse avec l’au-delà joue et rejoue sans cesse les cosmogonies premières qui célèbrent la communion de l’homme avec les créatures animales et végétales. » René Daumal.

« L’Homme-Jaguar »,( calcaire, 280h-80-80cm) réalisé en 2017, dans le cadre du projet de la « Galaxie des Pierres Levées » à Crazannes (France), pour les Lapidiales, sur le thème des cultures amérindiennes d’Amérique du Sud.

Daphné

« Daphné » (calcaire, 190h-150l-110p),  2019,  Angoulême, Charente (France). Sculpture élaborée durant un festival. Métamorphose (Ovide) entre femme et végétal, contre le viol. Ainsi que d’entretenir le lien étroit entre l’humanité et la préservation de la nature...

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