Thomas Petit sculpteur




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Biographie

© Guy Kunz-Jacques

 

THOMAS PETIT

 

Né en 1991, il vit et travaille à Angoulême. Thomas Petit signe ses œuvres CPT pour Cesto Petit Thomas : Cesto est un nom métissé qui est celui de sa mère martiniquaise, Petit celui de son père charentais. Enfant, passionné par les sciences naturelles et la paléontologie, il a créé un musée dans la maison familiale d’Angoulême.

Après avoir préparé un BEP en architecture au lycée de Sillac, Thomas se rend dans la Creuse pour une formation de tailleur de pierre au lycée professionnel des métiers du bâtiment de Felletin. Il fait son apprentissage dans l’atelier de Marc Deligny, tout d’abord situé à Villejésus près d’Aigre, puis à Tusson en Charente: spécialisé dans la sculpture d’ornementation, cet atelier travaille autant pour le privé que pour les Monuments historiques. Après son CAP Thomas continuera de s’y perfectionner.

En 2010, à l’âge de 18 ans, il fait son premier grand voyage en Guyane : là, entre Cayenne et Saint-Georges de l’Oyapock, au cœur de la forêt amazonienne, il est fasciné par la puissance du végétal et la diversité des insectes qui lui inspireront plus tard (2014-15) la réalisation de ses « membracides » géants.

En 2014, il parcourt avec son sac au dos la Birmanie, le nord de la Thaïlande et le Cambodge. Visitant le site d’Angkor, il admire l’architecture des temples et l’immense programme de sculptures khmer en relief et en bas-relief, ne se lasse pas de dessiner sur son carnet de croquis les têtes monumentales du Bayon et les gracieuses apsaras.

En 2016, travaillant avec Marc Deligny sur un chantier à Sainte-Maxime, l’Italie n’étant pas loin, il se rend à Carrare, visite les carrières de marbre, achète des outils. Au printemps, dans le cadre de la résidence « Pierres en dédale » à Montendre, en Charente maritime, il réalise sa première grande sculpture qui évoque un labyrinthe. En septembre, lauréat de la Fondation charentaise Les Tricoles, il entreprend, au hameau de la Brousse, près de Sers, une sculpture de 3 mètres sur 4 dans la falaise calcaire au-dessus du ruisseau de l’Échelle. La sculpture représente « Marianne », dont la chevelure entremêle les emblèmes artistiques des divers continents (dont, pour l’Afrique, une figure de reliquaire kota du Gabon): Thomas rend ainsi hommage à la diversité culturelle et aux artistes du Solutréen qui, il y a 23 000 ans, ont sculpté non loin, au Roc de Sers, la fameuse frise pariétale représentant des chevaux, des bouquetins, un bison et une figure humaine, conservée au Musée de l’Archéologie nationale à St-Germain-en-Laye.

En février 2017, Thomas se rend à Dakar au Sénégal. Il y rencontre tout d’abord le sculpteur Oumar Pouye, sculpteur sur pierre établi sur la corniche. Il réside quelque temps au village des Arts, situé à Yoff sur la route de l’ancien aéroport, qui comporte une cinquantaine d’ateliers et une galerie permanente portant le nom de Léopold Sédar Senghor: des peintres comme Amadou Dieng et Kara Fall l’y accueillent fraternellement. Il sculpte une œuvre en basalte, sans titre, laissée sur place.

En été 2017, Thomas rejoint les « Lapidiales », atelier en plein-air de sculpteurs créé par Alain Tenenbaum dans un complexe de falaises et de carrières situé entre Port-d’Envaux et Crazannes, en Charente maritime, qui offre un espace d’expression unique à des artistes venus de tous les horizons. Thomas y sculpte en ronde-bosse un homme-jaguar qui rend hommage à la culture amérindienne. Quelque temps plus tard, peu avant Noël, Thomas s’envole pour le Mexique où il passera deux mois, invité à la première édition du festival de sculpture en pierre de Tepeji del Rio, dans la province d’Idalgo : accueilli en résidence avec six autres sculpteurs dans une ancienne usine textile, il représente dans le travertin local un « tztzimime », démon stellaire de sexe féminin dans la mythologie aztèque, et profite de son séjour pour visiter les grands temples précolombiens de Tula et de Teotihuacan.

En octobre 2018, le sculpteur burkinabè Siriki Ky l’invite à venir au Burkina Faso et à participer au Symposium de sculpture qu’il a créé sur le site de Laongo, à une trentaine de kilomètres de la capitale Ouagadougou: il s’agit d’un site granitique qui s’étend sur plusieurs hectares, devenu au fil des années un rendez-vous de sculpteurs internationaux travaillant selon leur inspiration sur les rochers qui s’offrent à eux à perte de vue. Thomas attaque au burin une tête fragmentaire, mi-femme, mi-masque, intitulée « Retour en Afrique ». Thomas sympathise avec différents sculpteurs, dont le Kanak Handjing Pagou Banehote. Avec les artisans bronziers qui travaillent pour Siriki Ky, il se familiarise avec la technique de la fonte à cire perdue et modèle une paire d’yeux en bronze pour sa sculpture. À la fin de la résidence, Thomas restera un mois supplémentaire au Burkina : à Ouaga, au village des Arts, il apprend à fabriquer un djembé (car Thomas est aussi musicien) et coule son « masque-oiseau » en bronze.

Courant 2019, Thomas travaille pour l’entreprise du sculpteur restaurateur d’origine roumaine, Viorel Enache, à la restauration d’un des frontons du palais du Louvre, contrôlée par les MH. En août-septembre, il réalise pour l’association Saxifraga, au milieu du Jardin Vert, une « Daphné » qui est aujourd’hui la propriété de la Ville d’Angoulême.

Dans la période stérile du confinement, il aménage un nouvel atelier dans une propriété appartenant à des amis anglais, située dans la vallée de l’Anguienne. Au milieu de ses œuvres on peut admirer quelques statues lobi rapportées du Burkina Faso, des pièces d’ethnographie naga du nord-est de l’Inde et des objets du Sépik (Papouasie-Nouvelle-Guinée).

Fier de ses racines africaines, caraïbes et gauloises, citoyen planétaire, Thomas incarne la philosophie du « Tout-Monde » chère au poète Édouard Glissant, celle de l’interpénétration heureuse des cultures et des imaginaires.

Étienne Féau

 

Le travail de Thomas PETIT s’inscrit par ailleurs dans une quête infinie de connaissances, de formes, et de matières. Issu d’une famille aux racines à la fois caraïbéenne, charentaises ou encore bretonnes, et habité très tôt par une recherche de compréhension des mécanismes de la vie qui ont fait, pour lui, de la nature un véritable terrain de jeu. Les thématiques de la nature et de la diversité humaine figurent parmi ses principales sources d’inspiration.

Parcours artistique et professionnel:

  • Symposium de sculpture de Zevallos, en Guadeloupe 2022
  • Exposition collective, « 25 ème Salon d’art APROART », Aubusson 2022
  • Exposition à la Galerie l’Escale , aux Château d’Oléron (17), 2022
  • Intervention Workshop sondage et taille des roches volcaniques, aux Campus Caraïbéen des Arts de Fort de France ( Martinique) 2022
  • Symposium international de sculpture sur marbre international de Maciuca en Roumanie, 2021
  • Exposition collective «  Dialogue », aux Musée d’Angoulême (16), 2021
  • Exposition collective au Château de Saint-Auvent (87), 2021
  • Sculpture monumentale en pierre pour un Parcours d’œuvres sculptées à Vix en Vendée, 2021
  • 2019-2020 Travail sur l’église gothique d’Arc la Bataille (Normandie). Frises, pinacles, feuilles de choux, oreilles de chien
  • Taille d’éléments pour la place Stanislas ( Nancy), boules en feux monumentales sur bases moulurées
  • Taille de frise et volutes pour la mairie de Nevers
  • participation à la restauration du Palais du Louvre (Paris)…
  • Travail réalisé en partenariat avec les atelier Enache Patrimoine ( sur chantier et en atelier)…
  • Symposium de sculpture de Surgères, 2019
  • Exposition personnelle à La Galerie Marland d’Angoulême, 2019
  • Sculpture monumentale pour le Festival « ça ira mieux demain », Jardin Vert d’Angoulême, 2019
  • Résidence et symposium de sculpture de Laongo au Burkina Faso, 201
  • Symposium de sculpture au Mexique à Tepeji del rio (sculpture sur marbre Travertin), 2017
  • Septembre 2017 réalisation d’un haut relief pour la prestigieuse maison de Cognacs Rémy-Martin
  • Résidence de Sculpture international, aux pôles nature de Crazannes pour les Lapidiales, 2017
  • Symposium réalisation d’une sculpture monumentale à Junas (Gard), 2017
  • Lauréat de la Bourse de la fondation des Tricoles sous l’égide de la fondation de France. Sculpture monumentale en falaise (4x3 m), 2016
  • Symposium de sculpture monumentale sur pierre à Montendre ( Charente Maritime) 2016
  • Sculpture en basalte à la galerie d’art de Dakar (Sénégal) au village des Arts, 2016
  • 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 réalisation de trophées pour l’association L'Hippocampe durant le festival international de la BD d’Angoulême (6 collections, de 36 exemplaires réalisés en résines polychromes, finition peinture main). Concours de BD pour les enfant handicapées.
  • Taille, pose, ajustement de différents éléments architecturaux et décors ornementés sur pierre, basilique St Nicolas, 2013-2014
  • 2010-2012 : BP Métier de la pierre à Felletin.
  • Apprentissage au sein de l'atelier de statuaire de Marc Deligny en Charente 2010-2012
  • 2009-2010 : CAP de tailleur de pierre-marbrier du bâtiment et de décoration au centre de formation de Felletin (Creuse).
  • 2006-2009 : BEP Technique de l'Architecture et de l’Habitat, établissement de Sillac d’Angoulême.

 

© Guy Kunz-Jacques

 

THOMAS PETIT

 

Né en 1991, il vit et travaille à Angoulême. Thomas Petit signe ses œuvres CPT pour Cesto Petit Thomas : Cesto est un nom métissé qui est celui de sa mère martiniquaise, Petit celui de son père charentais. Enfant, passionné par les sciences naturelles et la paléontologie, il a créé un musée dans la maison familiale d’Angoulême.

Après avoir préparé un BEP en architecture au lycée de Sillac, Thomas se rend dans la Creuse pour une formation de tailleur de pierre au lycée professionnel des métiers du bâtiment de Felletin. Il fait son apprentissage dans l’atelier de Marc Deligny, tout d’abord situé à Villejésus près d’Aigre, puis à Tusson en Charente: spécialisé dans la sculpture d’ornementation, cet atelier travaille autant pour le privé que pour les Monuments historiques. Après son CAP Thomas continuera de s’y perfectionner.

En 2010, à l’âge de 18 ans, il fait son premier grand voyage en Guyane : là, entre Cayenne et Saint-Georges de l’Oyapock, au cœur de la forêt amazonienne, il est fasciné par la puissance du végétal et la diversité des insectes qui lui inspireront plus tard (2014-15) la réalisation de ses « membracides » géants.

En 2014, il parcourt avec son sac au dos la Birmanie, le nord de la Thaïlande et le Cambodge. Visitant le site d’Angkor, il admire l’architecture des temples et l’immense programme de sculptures khmer en relief et en bas-relief, ne se lasse pas de dessiner sur son carnet de croquis les têtes monumentales du Bayon et les gracieuses apsaras.

En 2016, travaillant avec Marc Deligny sur un chantier à Sainte-Maxime, l’Italie n’étant pas loin, il se rend à Carrare, visite les carrières de marbre, achète des outils. Au printemps, dans le cadre de la résidence « Pierres en dédale » à Montendre, en Charente maritime, il réalise sa première grande sculpture qui évoque un labyrinthe. En septembre, lauréat de la Fondation charentaise Les Tricoles, il entreprend, au hameau de la Brousse, près de Sers, une sculpture de 3 mètres sur 4 dans la falaise calcaire au-dessus du ruisseau de l’Échelle. La sculpture représente « Marianne », dont la chevelure entremêle les emblèmes artistiques des divers continents (dont, pour l’Afrique, une figure de reliquaire kota du Gabon): Thomas rend ainsi hommage à la diversité culturelle et aux artistes du Solutréen qui, il y a 23 000 ans, ont sculpté non loin, au Roc de Sers, la fameuse frise pariétale représentant des chevaux, des bouquetins, un bison et une figure humaine, conservée au Musée de l’Archéologie nationale à St-Germain-en-Laye.

En février 2017, Thomas se rend à Dakar au Sénégal. Il y rencontre tout d’abord le sculpteur Oumar Pouye, sculpteur sur pierre établi sur la corniche. Il réside quelque temps au village des Arts, situé à Yoff sur la route de l’ancien aéroport, qui comporte une cinquantaine d’ateliers et une galerie permanente portant le nom de Léopold Sédar Senghor: des peintres comme Amadou Dieng et Kara Fall l’y accueillent fraternellement. Il sculpte une œuvre en basalte, sans titre, laissée sur place.

En été 2017, Thomas rejoint les « Lapidiales », atelier en plein-air de sculpteurs créé par Alain Tenenbaum dans un complexe de falaises et de carrières situé entre Port-d’Envaux et Crazannes, en Charente maritime, qui offre un espace d’expression unique à des artistes venus de tous les horizons. Thomas y sculpte en ronde-bosse un homme-jaguar qui rend hommage à la culture amérindienne. Quelque temps plus tard, peu avant Noël, Thomas s’envole pour le Mexique où il passera deux mois, invité à la première édition du festival de sculpture en pierre de Tepeji del Rio, dans la province d’Idalgo : accueilli en résidence avec six autres sculpteurs dans une ancienne usine textile, il représente dans le travertin local un « tztzimime », démon stellaire de sexe féminin dans la mythologie aztèque, et profite de son séjour pour visiter les grands temples précolombiens de Tula et de Teotihuacan.

En octobre 2018, le sculpteur burkinabè Siriki Ky l’invite à venir au Burkina Faso et à participer au Symposium de sculpture qu’il a créé sur le site de Laongo, à une trentaine de kilomètres de la capitale Ouagadougou: il s’agit d’un site granitique qui s’étend sur plusieurs hectares, devenu au fil des années un rendez-vous de sculpteurs internationaux travaillant selon leur inspiration sur les rochers qui s’offrent à eux à perte de vue. Thomas attaque au burin une tête fragmentaire, mi-femme, mi-masque, intitulée « Retour en Afrique ». Thomas sympathise avec différents sculpteurs, dont le Kanak Handjing Pagou Banehote. Avec les artisans bronziers qui travaillent pour Siriki Ky, il se familiarise avec la technique de la fonte à cire perdue et modèle une paire d’yeux en bronze pour sa sculpture. À la fin de la résidence, Thomas restera un mois supplémentaire au Burkina : à Ouaga, au village des Arts, il apprend à fabriquer un djembé (car Thomas est aussi musicien) et coule son « masque-oiseau » en bronze.

Courant 2019, Thomas travaille pour l’entreprise du sculpteur restaurateur d’origine roumaine, Viorel Enache, à la restauration d’un des frontons du palais du Louvre, contrôlée par les MH. En août-septembre, il réalise pour l’association Saxifraga, au milieu du Jardin Vert, une « Daphné » qui est aujourd’hui la propriété de la Ville d’Angoulême.

Dans la période stérile du confinement, il aménage un nouvel atelier dans une propriété appartenant à des amis anglais, située dans la vallée de l’Anguienne. Au milieu de ses œuvres on peut admirer quelques statues lobi rapportées du Burkina Faso, des pièces d’ethnographie naga du nord-est de l’Inde et des objets du Sépik (Papouasie-Nouvelle-Guinée).

Fier de ses racines africaines, caraïbes et gauloises, citoyen planétaire, Thomas incarne la philosophie du « Tout-Monde » chère au poète Édouard Glissant, celle de l’interpénétration heureuse des cultures et des imaginaires.

Étienne Féau

 

Le travail de Thomas PETIT s’inscrit par ailleurs dans une quête infinie de connaissances, de formes, et de matières. Issu d’une famille aux racines à la fois caraïbéenne, charentaises ou encore bretonnes, et habité très tôt par une recherche de compréhension des mécanismes de la vie qui ont fait, pour lui, de la nature un véritable terrain de jeu. Les thématiques de la nature et de la diversité humaine figurent parmi ses principales sources d’inspiration.

Parcours artistique et professionnel:

  • Symposium de sculpture de Zevallos, en Guadeloupe 2022
  • Exposition collective, « 25 ème Salon d’art APROART », Aubusson 2022
  • Exposition à la Galerie l’Escale , aux Château d’Oléron (17), 2022
  • Intervention Workshop sondage et taille des roches volcaniques, aux Campus Caraïbéen des Arts de Fort de France ( Martinique) 2022
  • Symposium international de sculpture sur marbre international de Maciuca en Roumanie, 2021
  • Exposition collective «  Dialogue », aux Musée d’Angoulême (16), 2021
  • Exposition collective au Château de Saint-Auvent (87), 2021
  • Sculpture monumentale en pierre pour un Parcours d’œuvres sculptées à Vix en Vendée, 2021
  • 2019-2020 Travail sur l’église gothique d’Arc la Bataille (Normandie). Frises, pinacles, feuilles de choux, oreilles de chien
  • Taille d’éléments pour la place Stanislas ( Nancy), boules en feux monumentales sur bases moulurées
  • Taille de frise et volutes pour la mairie de Nevers
  • participation à la restauration du Palais du Louvre (Paris)…
  • Travail réalisé en partenariat avec les atelier Enache Patrimoine ( sur chantier et en atelier)…
  • Symposium de sculpture de Surgères, 2019
  • Exposition personnelle à La Galerie Marland d’Angoulême, 2019
  • Sculpture monumentale pour le Festival « ça ira mieux demain », Jardin Vert d’Angoulême, 2019
  • Résidence et symposium de sculpture de Laongo au Burkina Faso, 201
  • Symposium de sculpture au Mexique à Tepeji del rio (sculpture sur marbre Travertin), 2017
  • Septembre 2017 réalisation d’un haut relief pour la prestigieuse maison de Cognacs Rémy-Martin
  • Résidence de Sculpture international, aux pôles nature de Crazannes pour les Lapidiales, 2017
  • Symposium réalisation d’une sculpture monumentale à Junas (Gard), 2017
  • Lauréat de la Bourse de la fondation des Tricoles sous l’égide de la fondation de France. Sculpture monumentale en falaise (4x3 m), 2016
  • Symposium de sculpture monumentale sur pierre à Montendre ( Charente Maritime) 2016
  • Sculpture en basalte à la galerie d’art de Dakar (Sénégal) au village des Arts, 2016
  • 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 réalisation de trophées pour l’association L'Hippocampe durant le festival international de la BD d’Angoulême (6 collections, de 36 exemplaires réalisés en résines polychromes, finition peinture main). Concours de BD pour les enfant handicapées.
  • Taille, pose, ajustement de différents éléments architecturaux et décors ornementés sur pierre, basilique St Nicolas, 2013-2014
  • 2010-2012 : BP Métier de la pierre à Felletin.
  • Apprentissage au sein de l'atelier de statuaire de Marc Deligny en Charente 2010-2012
  • 2009-2010 : CAP de tailleur de pierre-marbrier du bâtiment et de décoration au centre de formation de Felletin (Creuse).
  • 2006-2009 : BEP Technique de l'Architecture et de l’Habitat, établissement de Sillac d’Angoulême.

 

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